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- La prévention des risques professionnels du poseur de revêtement de sol
Les risques professionnels de la pose de revêtement de sol intérieur concernent les parqueteurs et les moquettistes : le ponçage et la vitrification de parquet, la pose de parquet, de moquette ou de dalles plastiques, l’utilisation d’enduit de ragréage et de colle, l’usage de machines comme la ponceuse ou d’outils comme les cutters, les scies électriques, ... sont des activités qui génèrent de nombreux risques chimiques et physiques.
Les risques professionnels de la pose de revêtement de sol intérieur concernent les parqueteurs et les moquettistes : le ponçage et la vitrification de parquet, la pose de parquet, de moquette ou de dalles plastiques, l’utilisation d’enduit de ragréage et de colle, l’usage de machines comme la ponceuse ou d’outils comme les cutters, les scies électriques, ... sont des activités qui génèrent de nombreux risques chimiques et physiques. Les fortes contraintes physiques sont à l’origine de nombreux troubles musculo-squelettiques, avec, en particulier les maladies professionnelles provoquées par des lésions des genoux par suite du travail prolongé agenouillé ou accroupi, les lombalgies d'effort et autres lésions articulaires causées par la manipulation fréquente de lourdes charges ou par l’utilisation d’outils vibrants.
Par ailleurs, les vapeurs toxiques dégagées par les décapants, les diluants, les colles et les vernis, les poussières de bois sont à l’origine d’allergies et autres affections respiratoires ou cutanées et peuvent présenter des risques cancérogènes.
Enfin, des blessures graves peuvent être causées par les outils de coupe.
Toutes ces nuisances rencontrées dans le métier du poseur de revêtement de sol rendent nécessaire l’adoption de mesures de prévention des risques engendrés par ces professions : choix des produits, aération du local et aspiration à la source des poussières, aides à la manutention, outils adaptés, équipement de protection individuelle approprié, ...
La prévention des risques du métier de poseur de revêtement de sol passe aussi par le respect des règles d’hygiène et les bonnes pratiques et gestes professionnels assurés par une formation continue à la sécurité du travail.
Les principaux risques du parqueteur et du moquettiste
Le poseur de revêtement de sol doit décaper les surfaces abîmées, les poncer, les enduire afin de les rendre parfaitement lisses et les aspirer, encoller éventuellement selon la technique utilisée, puis scier ou découper à la mesure et poser les éléments (lames de parquet, moquette, linoleum ou dalles de plastiques) et les accessoires (joints de dilatation, seuils de porte...). Ces travaux s’effectuent en partie penché en avant, ou accroupi ou agenouillé de façon prolongée, en utilisant des machines lourdes et vibrantes, des outils coupants, des produits chimiques dangereux.
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Risques liés aux postures et manutentions
Des postures de travail contraignantes sont particulièrement fréquentes dans le métier de poseur de revêtement de sol :
- mouvements répétitifs du membre supérieur (grattage avec raclette...)
- position accroupie ou penchée en avant fréquente lors de la préparation des supports (décapage, ponçage...),
- travail prolongé à genou lors de la réalisation du ragréage et d’application de la colle avec la spatule et de la pose et du nettoyage des revêtements de sols,
- chocs itératifs du talon de la main,
Les risques liés à ces postures sont majorés si le travail s’effectue dans des lieux exigus, mal éclairés...
Les manutentions constantes de lourd matériel sur les lieux de travail (ponceuse et bordureuse à parquet, décolleuse de moquette, raboteuse à béton, bidons de résine, paquets de parquet ou rouleaux de moquette ou de linoléum, cartons de dalles, sacs de ragréage, seaux de colle, ...), entrainent des troubles musculo-squelettiques très fréquents à l’origine de nombreux accidents du travail. Les postures contraignantes, notamment les travaux réalisés à genoux ou accroupi, contribuent aussi largement à la pénibilité physique et à la survenue de lésions articulaires et de lombalgies d'effort. Les lésions de la colonne vertébrale, les douleurs des poignets, des épaules et surtout des genoux sont particulièrement fréquents chez les parqueteurs et moquettistes.
En particulier,
- les lésions chroniques méniscales et les compressions du nerf sciatique,
- l'hygroma du genou (ou bursite) du à une augmentation progressive et lente de volume d'une bourse séreuse due à des microtraumatismes répétés du fait des appuis prolongés sur le genou lors de la pose de parquet ou de moquette. Cette pathologie entraine au minimum une gêne mais aussi souvent des douleurs chroniques et parfois une surinfection nécessitant une opération. -
Risques liés aux outils et machines
Durant les opérations :
- d’ajustage des bords,
- d’ouverture des emballages ou des sacs,
- de clouage des nez de marche et des plinthes,
- de sciage des lames...,
des blessures par outils tranchants ou contondants (cutter, scie électrique, marteau, maillet, agrafeuse, ciseaux...), avec une surinfection potentielle de la plaie, peuvent être occasionnées par les outils à main et électro-portatifs utilisés, avec, de plus, le risque de chocs électriques lors de l’utilisation d’appareils électromécaniques défectueux ou d’installations électriques temporaires précaires, avec des câbles, des prises endommagés.
Des machines utilisées sont souvent vibrantes (la ponceuse électrique, la raboteuse...) et cela entraine également des expositions des parqueteurs et moquettistes aux vibrations, provoquant des atteintes pathologiques ostéoarticulaires et angioneurotiques qui concernent principalement les membres supérieurs, les mains et la colonne vertébrale, par transmission des vibrations au bras ou au corps entier.
Des lésions oculaires sont aussi provoquées par des projections de corps étrangers, de particules et de diverses poussières dans les yeux. -
Risques liés aux émissions de poussières de bois lors de la découpe et du ponçage
Les opérations de sciage du bois mais surtout de ponçage génèrent une quantité importante de poussières très fines : ces particules de poussière irritantes se logent dans le nez, et certaines particules très fines réussissent à traverser la cavité nasale et à s'attaquer à la trachée et aux poumons, ou elles engendrent une inflammation des muqueuses des bronches : l’inhalation de poussières de bois et de vapeurs de formaldéhyde provoquent des rhinites et peuvent être à l’origine de réactions asthmatiques.
Par ailleurs, l’exposition concomitante aux poussières de bois et au formaldéhyde génère un risque de cancers naso-sinusiens beaucoup plus élevé que pour le bois seul, qui, même s’ils sont rares et d’apparition tardive, ont été longtemps sous-estimés.
Le cancer de l’ethmoïde, des fosses nasales et sinus de la face figure dans le tableau des maladies professionnelles n°47 « Affections professionnelles provoquées par les poussières de bois », et celui du nasopharynx dans le tableau 43bis « Affections cancéreuses provoquées par l’aldéhyde formique ». Les poseurs de revêtement de sol sont aussi exposés à l’inhalation de poussières de ciment sous forme sèche et de poussières minérales de silice lors du ponçage de béton pour la préparation des supports, qui peuvent être aussi responsables d’affections oculaires et respiratoires : conjonctivite, blépharite (lésions de follicules pileux des cils de paupières), rhinites, fibrose pulmonaire. -
Risques liés aux produits chimiques de vernissage et de décapage
La manipulation et l’application de produits chimiques (résines, solvants, ...) lors des opérations de vitrification s’effectue le plus souvent dans des pièces confinées propices à l’inhalation de Composés Organiques Volatils (COV) qui émettent des vapeurs même à pression et température ordinaire de travail, et donc se répandent aisément sous forme gazeuse dans l’air ambiant et pénètrent dans les poumons puis passent directement dans le sang, dans le cœur et le cerveau.
La vitrification utilise des vernis composés d’une résine solvantée et d’un durcisseur (urée-formol, polyuréthanes, isocyanates) qui s’appliquent en plusieurs couches à la brosse, au pinceau ou au rouleau. Le matériel est nettoyé à l’aide d’un diluant en fin d’application.
Les COV affectent des organes cibles divers : irritations des yeux et de la gorge, des organes respiratoires (rhinites, asthme...), troubles cardiaques, digestifs (nausées), du système nerveux (maux de tête)...
Les vernis aux polyuréthanes contiennent des isocyanates qui, en cas de contact cutané ou d’inhalation, risquent de provoquer des allergies (asthme, eczéma), des pneumopathies d'hypersensibilité, des blépharo-conjonctivites.
Les décapants ou éclaircissants du bois contiennent de l’acide fluorhydrique ou chlorhydrique et sont particulièrement caustiques pour la peau et les muqueuses.
Les produits décollant la moquette, diluant pour colle, décapant de sol, sur des bases acides ou alcalines ou sur base solvant (dioxolane, acétone, dichlorométhane...) sont dangereux en provoquant des irritations oculaires, cutanées et pulmonaires. -
Risques liés aux produits chimiques de collage
Le primaire d’accrochage sur support poreux est constituée de polychloroprène dissous dans un mélange de solvants qui doivent s’évaporer pour permettre la prise (toluène, xylène, ...), et cela génère des Composés Organiques Volatils (COV) provoquant des troubles neurologiques (céphalées, vertiges, agitation ou somnolence, ...), des irritations pour les yeux et la peau et, aux fortes concentrations, des convulsions, des affections gastro-intestinales accompagnées de vomissements. Les colles (à base époxydique, polyuréthanne, acrylique ou vinylique) sont à l’origine de dermatite de contact allergique, avec sensibilisation progressive à ces produits de façon spécifique du fait de la multiplicité des contacts cutanés non protégés.
L'eczéma de contact siège sur les faces dorsales et latérales des doigts et des mains, face interne des poignets. Les atteintes cutanées sont érythémateuses avec lésions prurigineuses, vésiculeuses suivies d'une phase de suintement, de formation de croûtes et de desquamation, et l’eczéma peut se surinfecter. -
Autres Risques
Les chantiers ou travaillent les parqueteurs et moquettistes présentent d’autres risques moins spécifiques à cette profession, mais communs à tous les métiers du bâtiment : les déplacements fréquents sur un sol inégal, encombré, mal éclairé, et/ou glissant, induisent de nombreux risques physiques de plaies, fractures et entorses dues aux chutes de plain-pied. Le chauffage éventuel des dalles vinyliques au chalumeau ou au pistolet à air chaud, outre les risques de brûlure thermique, peut être à l’origine d’incendie : les chiffons imbibés de solvants inflammables, les bidons non refermés émettant des vapeurs, peuvent s'enflammer au contact de cette source de chaleur importante ou d’une flamme d’une allumette ou cigarette.
Les mesures préventives des risques du parqueteur et moquettiste
Les moyens de prévention à mettre en œuvre pour pallier les risques professionnels des parqueteurs et moquettistes résident d’abord dans la prévention collective (aération, machines et outils, produits...) qui diminue fortement les expositions et la fréquence ces accidents, puis dans la prévention individuelle (équipements de protection) qui en diminue nettement la gravité, enfin dans la formation à la sécurité. La prévention collective concerne surtout l’aération efficace du chantier et l’aspiration à la source des poussières, l’utilisation des produits conforme aux spécifications, l’emploi de produits de substitution de moindre impact potentiel sur l'homme, des aides à la manutention et des outils adaptés, le respect des règles générales d’hygiène...
Les différents risques professionnels doivent faire l’objet d’une évaluation pour permettre la rédaction du Document Unique de Sécurité (Décret du 5 novembre 2001) en appréciant à la fois l’environnement matériel et technique (outils, machines, produits utilisés) et l’efficacité des moyens de protection existants et de leur utilisation selon les postes de travail.
De manière aussi à ce que les salariés puissent être informés à propos des produits dangereux utilisés, les Fiches de Données de Sécurité (F.D.S.) doivent être mises à disposition et la connaissance de leurs risques expliquée au travers de la compréhension de leur étiquetage.
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La suppression / substitution des produits les plus toxiques
La première étape consiste à repérer en particulier les agents chimiques cancérogènes ou dangereux dans le cadre de l'évaluation des risques du Document Unique de Sécurité (DUS). Les Fiches de Données de Sécurité (FDS), obligatoires pour tout produit chimique dangereux, comportent les renseignements relatifs à la toxicité des produits, donc notamment leur caractère cancérogène éventuel. La suppression ou la substitution des produits cancérogènes ou dangereux est la mesure de prévention prioritaire qui s'impose à l’employeur. Des fiches d’aide à la substitution sont disponibles sur le site de l’INRS, et l'utilisation de colle en phase aqueuse peut être une solution ainsi que celle des produits les moins volatils (pression vapeur plus faible), mais la recherche de substituts peut être difficile dans certains cas. Le repérage du risque est nécessaire en particulier pour identifier la présence de formaldéhyde, et choisir un autre revêtement comme un parquet vitrifié prêt à poser ou utiliser des vernis sans formaldéhyde. Il est recommandé d’utiliser des vernis et colles en phase aqueuse et de remplacer l'acide fluorhydrique par d'autres produits moins dangereux. Il faut privilégier les solvants végétaux pour le nettoyage des outils, et les enduits technologiques sans poussière qui réduisent l’exposition à l'inhalation de silice. -
L’aération et l’aspiration à la source des poussières
Il est indispensable de limiter dans le local la quantité de poussières de bois et de vapeurs de solvants, en travaillant seulement dans les zones bien ventilées, c'est-à-dire aérer largement les locaux pendant et après l’application des produits volatils.
D’autre part, la captation à la source des poussières doit impérativement être mise en œuvre, c'est-à-dire au plus près de leur point d’émission, avant leur dispersion dans le local : ponceuse avec aspiration...
Il convient d’assurer une concentration des poussières et vapeurs dans l’atmosphère du local la plus basse possible, pour éviter en tout cas l’exposition des travailleurs à une concentration supérieure à celle des limites de sécurité (valeurs limites et moyennes d’exposition VLE et VME). La valeur limite réglementaire moyenne (VME) est de 1 mg/m3 pour le bois et de 0,6 mg/m3 pour le formaldéhyde. Pour les vernis solvantés, la ventilation du local, dès que le vernis est hors poussières jusqu’à évaporation complète du solvant, est indispensable.
Des mesures complémentaires d’hygiène doivent être mises en œuvre lors du nettoyage du parquet qui doit s’effectuer à l’aide d’un aspirateur industriel adapté avec un filtre absolu (pas de soufflette ni de balai qui dispersent les poussières dans l’air) et l’évacuation fréquente des sciures du chantier. Les filtres et les sacs laissent échapper les poussières les plus fines et le vidage ou leur remplacement est une cause d'empoussièrement majeure, et il convient alors que l’opérateur se protège ponctuellement avec un masque de protection respiratoire de type FFP3. Pour les revêtements plastiques, les sols doivent être nettoyés à l’humide pour limiter la dispersion des poussières.
Enfin, les récipients de colle doivent disposer d’un couvercle bien refermé après usage, ainsi que les bidons et autres conteneurs de produits chimiques. -
Les aides à la manutention
Les travaux du parqueteur ou du moquettiste comportent de nombreuses manutentions de charges lourdes qui entraînent des risques évidents de troubles musculo-squelettiques au niveau du dos et des articulations, qui peuvent être réduits par l’utilisation systématique de moyens qui limitent ou facilitent la manipulation manuelle : diable, transpalette, monte charge... -
L’utilisation d’outils adaptés
La précaution contre les coupures consiste à utiliser des cutters avec protection automatique du tranchant en fin de coupe : le mécanisme de sécurité avec dispositif de retrait automatique de la lame, qui se déclenche dès qu’on lâche le pouce, protège les mains et le corps d’un faux mouvement.
Pour améliorer la prévention des risques respiratoires, il est recommandé de travailler avec des rouleaux à manche pour s’éloigner de la surface d'évaporation. -
La protection individuelle du parqueteur et du moquettiste
Les conditions de travail du poseur de revêtement de sol font qu’il est impossible d’éliminer tous les risques par la mise en place des protections collectives précédentes. En plus du respect des règles d’hygiène personnelle (ne pas fumer, se laver les mains fréquemment pour ne pas avoir les mains sales afin de ne pas ingérer par inadvertance un produit toxique, ne pas manger sur le lieu de travail, tenues de ville et tenues de travail distinctes et rangées séparément), pour travailler en toute sécurité, le poseur de revêtement de sol doit se protéger la peau, les mains, le visage, les voies respiratoires et les yeux et donc recourir impérativement aux équipements de protection individuelle suivants :
- Chaussures ou bottes de sécurité antidérapantes,
- Lunettes de protection enveloppantes ou une visière pour couper, pour scier, poncer et lors de l'application de produits caustiques,
- Gants de manutention anti-coupures pour la découpe, gants de néoprène ou nitrile avec un revêtement intérieur en coton et des manchettes remontant haut sur les avants bras pour manipuler et appliquer les enduits, les colles...,
- Crèmes protectrices non grasses pour les mains qui forment un écran contre la pénétration des produits dans la peau et facilite le nettoyage des mains, - Masques anti-poussières filtrants à ventilation libre de type FFP2 lors d’émission modérée de poussières, ou demi masques filtrants de type FFP3 à cartouche filtrante adaptée contre les poussières de bois ou contre les vapeurs de solvant organique, en cas de vitrification, ponçage ou décapage en milieu confiné ou sur des grandes surfaces ou sur matériaux siliceux.
- Bouchons auditifs moulés lors de l’utilisation d’outils bruyants (ponceuse, raboteuse...).
- Pantalon de travail pouvant intégrer une protection fixe ou amovible des genoux, ou genouillères indépendantes, constituées de coussinets souples solidaires d'un support, maintenues sur le genou à l'aide de lanières ou de courroies ou sangles élastiques.
- Veste avec renfort au niveau des coudes pour travaux en appui,
- Combinaison jetable pour les travaux de vernissage. -
La formation à la sécurité des parqueteurs et moquettistes
- La formation PRAP (Prévention des Risques liés à l'Activité Physique) pour prévenir les risques liés aux manutentions manuelles. Il s’agit d’apprendre les bonnes postures de travail, les positions articulaires adéquates, en appliquant les principes de base de sécurité physique et d’économie d’effort.
- La formation sur les dangers des produits utilisés et sur les moyens de se protéger (par exemple savoir lire attentivement l'étiquette du contenant des produits et connaître les symboles présents sur les récipients, utiliser les E.P.I adéquats).
Pour aller plus loin
OFFICIEL PREVENTION : Dossiers Protections collectives - Organisation – Ergonomie > Risque chimique : « La prévention des risques professionnels des Composés Organiques Volatils (COV) »
Octobre 2011
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