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- La méthode SWOT d’analyse de la Santé et Sécurité au Travail
La méthode d’acronyme « SWOT » (Strengths = Forces, Weaknesses = Faiblesses, Opportunities = Opportunités, Threats = Menaces) est utile aux acteurs de la prévention pour approfondir les réflexions sur les stratégies et politiques en matière de santé et sécurité au travail (SST) afin de préparer l’élaboration des plans de prévention des risques professionnels et d’amélioration des conditions de travail : l’analyse SWOT aide à gérer les risques en amont du processus de décision, en permettant de questionner les facteurs et enjeux que les dirigeants et préventeurs doivent prendre en compte, et de réaliser un diagnostic externe et interne de l’entreprise dans ce but.
La méthode SWOT d’analyse de la Santé et Sécurité au Travail
La méthode d’acronyme « SWOT » (Strengths = Forces, Weaknesses = Faiblesses, Opportunities = Opportunités, Threats = Menaces) est utile aux acteurs de la prévention pour approfondir les réflexions sur les stratégies et politiques en matière de santé et sécurité au travail (SST) afin de préparer l’élaboration des plans de prévention des risques professionnels et d’amélioration des conditions de travail : l’analyse SWOT aide à gérer les risques en amont du processus de décision, en permettant de questionner les facteurs et enjeux que les dirigeants et préventeurs doivent prendre en compte, et de réaliser un diagnostic externe et interne de l’entreprise dans ce but.
Le contexte des facteurs de l’évaluation des risques professionnels
De nouveaux risques professionnels apparaissent soit du fait de technologies, de molécules chimiques nouvelles, de procédés de fabrication nouveaux … soit du fait de modifications des modes de fonctionnement des entreprises ou de nouvelles formes d’emploi : l’émergence d’un risque jusqu’alors inexistant ou une intensification d’un risque déjà existant, mais concernant jusqu’à présent une faible population des travailleurs, crée des menaces à évaluer.
Ainsi, beaucoup de modifications des conditions de travail techniques ou organisationnelles de l’appareil productif ou administratif nécessitent de prendre en compte l’adoption de mesures de prévention appropriées à l’enjeu que représentent les nouveaux risques professionnels qu’elles induisent : cela implique des changements de perception de l’importance de certains facteurs de risque en fréquence ou en gravité par rapport à l’évaluation traditionnelle prévalant jusqu’à présent.
La prévention des risques professionnels physiques et psychologiques est le résultat, au sein de l’entreprise, de ces facteurs nombreux, internes, externes et évolutifs : les facteurs techniques, économiques, psycho-sociaux, juridiques s’entremêlent et la politique de prévention résulte de choix dépendant d’abord de l’évaluation de ces facteurs de risques, des incertitudes en fréquence et gravité des événements possibles. La gestion des risques professionnels comporte ensuite un système de management des risques se basant sur cette évaluation : définition des politiques de prévention, des procédures, des plans d’action, impliquant chaque niveau de responsabilité, et des indicateurs de suivi.
Ce schéma de développement d’une gestion des risques professionnels s’élabore à partir d’un projet d'entreprise qui requiert une méthodologie pour s’inscrire dans une dynamique d’amélioration.
Les facteurs d’une politique de prévention
La méthode SWOT est un outil d’analyse qui a pour but de dresser une vision d’ensemble de la situation actuelle d’une entreprise, d’une partie de celle-ci ou d’un projet, dans notre cas celui de l’amélioration de la sécurité et des conditions de travail. La méthode SWOT permet d’avoir une attitude proactive et d’évaluer de manière objective les ressources internes à utiliser et en même temps à évaluer le contexte de l’environnement externe. Représentée par une matrice, la méthode SWOT permet d’effectuer une analyse approfondie et de démarrer un projet d'entreprise d’amélioration de la sécurité et des conditions de travail, de définir des orientations à intégrer dans le développement d’un système de management de la santé et de la sécurité au travail (SMSST).
- Elle fournit un aperçu de la situation actuelle de l’entreprise avec ses forces (ou atouts) et ses faiblesses : analyse INTERNE qui concerne donc des éléments sur lesquels on peut agir directement.
- mettre en exergue tous les points forts de l’entreprise (bonnes qualité et expérience des équipes, bonne formation SST, culture de sécurité affirmée, bonne attractivité, indicateurs SST bien positionnés pour le secteur d’activité …) et , a contrario,
- identifier les domaines SST qui sont mal ou pas maîtrisés (croissance du taux et incidence de fréquence des accidents du travail, fort absentéisme, turn-over important, responsabilités compartimentées, bureaucratie paralysante, mauvais climat social, faibles productivité et motivation, nombreux litiges au sujet des conditions de travail et mises en demeure de l’inspection du travail …). - Elle examine pour l’avenir les tendances lourdes et discontinuités possibles dans l’environnement (opportunités et menaces) qui peuvent influencer les conditions de travail des activités de l’entreprise : analyse EXTERNE à l’entreprise, pour observer les éléments sur lesquels il n’est pas possible d’agir directement, et qui nécessiteront une adaptation. Pour cette analyse externe, il est possible de s’appuyer sur l’analyse macro-environnementale de 6 facteurs majeurs pouvant avoir de l’influence : - Politique (conservatisme versus progressisme, influence européenne, …),
- Economique (croissance, chômage, concurrence internationale …),
- Sociologique (démographie et ses évolutions et comportements, composition socio-culturelle de la population, influence de l’atteinte à la réputation, aversion accrue aux risques …),
- Technologique (tendances en matière d’innovation en SST, risques liés aux nouveaux procédés ou matériaux …),
- Ecologique (réglementations et influences relatives à l’écologie et à la maîtrise de l’énergie …),
- Légal (lois, droit du travail, réglementations, normes de sécurité…).
Comme l'environnement interne ou externe des risques professionnels et des conditions de travail peut rapidement changer, il convient régulièrement de mettre à jour cette analyse. Dans un cycle d’amélioration continue pérenne (principe du cycle PDCA Préparer, Développer, Contrôler, Ajuster), qui est le fondement d’un système de management de la santé et de la sécurité au travail (SMSST), la méthode SWOT peut être utilisée dans la première phase « Préparer », pour l'évaluation préalable de programmes d'action SST: analyser l’état des lieux, fixer une ambition d’amélioration. Il convient en effet d’abord de procéder à un diagnostic sur le niveau actuel de gestion de la santé et de la sécurité au travail dans l’entreprise pour analyser et évaluer les pratiques de l'organisation actuelle par rapport aux exigences de la réglementation (audit de conformité), des attentes sociales, des possibilités techniques de sécurité et de protection … et de déterminer les écarts par rapport aux meilleures réalisations dans des activités similaires à l’extérieur (benchmarking).
Caractérisation des conditions de travail : La matrice SWOT
Il convient de hiérarchiser les facteurs dans chaque case, les éléments étant classés par intensité de force décroissante avec les plus importants figurant en tête de liste.
On peut aussi, pour mieux détailler l’analyse, associer à chaque facteur un niveau d’intensité (de très forte à très faible), et un degré de confiance dans sa réalisation ou évolution future (de très grand à très faible) : sélectionner puis prioriser ces facteurs permet de ne retenir ceux qui ont le plus d’impact, qui influenceront le plus les plans d’actions. Par exemple, mise en œuvre impérative de ceux qui prennent en compte les menaces qui impacteraient le plus négativement l’entreprise et avec la plus forte probabilité d’occurrence.
Finalement, on peut regrouper les facteurs de chaque case de la matrice SWOT en 4 classes dont celle que l’on peut qualifier de majeure (occurrence probable ou très probable et intensité forte ou très forte, généralement une catégorie peu nombreuse) pour laquelle l’attention doit être maximale, et celle qu’on peut qualifier de négligeable ou marginale (peu ou très peu probable et peu ou très peu graves) que l’on peut passer sous silence dans une approche globale. Entre ces deux extrêmes, figurent les facteurs secondaires, modérés en probabilité ou en gravité, qui sont les plus nombreux, pour lesquels il convient de mettre en œuvre un plan ou un projet spécifique conduisant à des plans d’action ciblés mais non prioritaires.
Cette approche, en plus de fournir des priorités d’action permettant d’aller à l’essentiel, est aussi intéressante car elle met facilement en évidence les deux voies possibles de réduction des faiblesses ou menaces pour certains facteurs : agir sur la probabilité d’occurrence (en la diminuant par des mesures de prévention) ou sur la gravité (en mettant en place des systèmes de protection destinés à réduire les conséquences).
En particulier, pour les facteurs internes du SWOT, il s’agit de recenser, lister et hiérarchiser tous les risques potentiels actuels et futurs au sein d'un établissement, inventoriés et analysés de manière participative, ce qui contribue à l’amélioration du dialogue social dans l’entreprise et au développement d’une culture de sécurité partagée et non imposée. Le Document Unique de Sécurité permet normalement de faciliter le démarrage de cette analyse (le Document Unique de Sécurité est la transposition, par écrit, de l'évaluation des risques, imposée à tout employeur par le Code du Travail).
- Inventaire des situations dangereuses détectées a priori et a posteriori par le biais des analyses d’accidents potentiels ou survenus, des observations ou anomalies relevées en lien avec l’hygiène, la sécurité et les conditions de travail (pénibilité, pannes machines ou autres dysfonctionnements, difficultés relationnelles…).
- Analyse des maladies professionnelles en remontant aux causes les plus en amont, des non- conformités ainsi que des audits de sécurité et remarques de l’Inspection du Travail.
- La collecte et la mémorisation systématiques des accidents et incidents du travail sont mises en œuvre pour organiser l’analyse objective des informations en matière de sécurité du travail et de prévention des risques professionnels.
- Une veille réglementaire constante aux évolutions des normes ou de la législation en matière d’environnement, d’hygiène et de sécurité est mise en œuvre.
- On peut alors procéder à un diagnostic Forces / Faiblesses sur le niveau actuel de gestion de la santé et de la sécurité au travail dans l’entreprise pour analyser et évaluer les pratiques de l'organisation actuelle par rapport par exemple aux exigences de la réglementation (audit de conformité) et de déterminer les écarts par rapport aux meilleures réalisations dans des activités similaires à l’extérieur (benchmarking).
- Le recours à un animateur externe est souvent nécessaire car il dispose de compétences, de méthodes, de techniques de communication expérimentées que n’ont pas les ressources internes. Il veille à la cohérence des méthodologies utilisées, au respect du programme de travail.
Les approches pluridisciplinaires (techniques, humaines, organisationnelles) sont nécessaires avec souvent besoin d’un recours à des consultants extérieurs pour faciliter cette tâche. L’identification des dangers s’appuie sur la documentation disponible (statistiques accidents du travail et maladie professionnelle, fiches de sécurité des produits, Code du Travail, textes réglementaires …), sur l’observation des situations de travail et sur l’écoute des opérateurs de manière à déterminer les conditions d’apparition d’une situation dangereuse et la façon dont elle est ressentie par les salariés. Puis la hiérarchisation des risques identifiés est indispensable avec débat pour fixer les priorités et aider à la définition des plans de prévention.
Les conditions de réussite d’une analyse SWOT
Pour fiabiliser cette méthode, il faut s’appuyer sur des données et/ou faits réels issus le plus possible d’une documentation avec des sources externes et indépendantes, des avis et recours à des experts extérieurs et non seulement des idées, des suppositions provenant de l’interne qui risquent d’être biaisées par des éléments subjectifs :
- Biais de confirmation : tendance à favoriser l’information connue ou l’idée admise et à ne pas la remettre en question même si les conditions changent.
- Biais d’engagement : renoncement à formuler des jugements ou critiques sur la situation actuelle, ne pas remettre en cause l’organisation, les procédures existantes.
- Biais d’évidence et d’habitude : adoption de solutions commodes, disponibles, faciles à justifier et à mettre en œuvre, utilisées habituellement (imitation du comportement).
- Biais de supériorité : confiance excessive dans son professionnalisme et son expérience.
- Biais d’ancrage : avoir du mal à se défaire des premières impressions, et à ne pas les favoriser dans les prises de décisions.
- Biais de l’autruche : ignorer ou minimiser les menaces, comme si le fait d’ignorer le problème pouvait le faire disparaître.
Ces travers très fréquents nécessitent pour y faire face, de réunir les facteurs-clé de succès qui reposent sur les éléments suivants :
- Disposer de données factuelles, repousser les opinions toutes faites, viser à l’appropriation des solutions sur une base rationnelle structurée et documentée, éloigner la charge affective et/ou émotionnelle qui contribue à brouiller la compréhension mutuelle : il faut éviter les opinions simplistes ayant un caractère d’évidence menant à des mesures dérisoires ou vaines ; il faut se méfier d’une opinion majoritaire ou exprimée véhémentement ou pathétiquement qui n’est pas nécessairement juste ; il faut chercher à prendre en compte tous les facteurs, les éléments, les influences qui expliquent les différents facteurs, déterminent leurs natures, leurs relations, leurs occurrences et leurs conséquences. Plus les données sont lacunaires, parcellaires et peu fiables, plus les décisions sont arbitraires et inefficaces. Toutefois, il convient d’éviter la profusion de données inhibant l’utilisation de celles qui sont réellement significatives.
- De nombreux indicateurs existent, certains sont suivis obligatoirement au sein du bilan social pour les grandes entreprises : des indicateurs sont classiques (nombre et gravité des accidents du travail et maladies professionnelles...), d'autres sont spécifiques aux enjeux principaux de santé et sécurité du travail dans l'établissement (nombre d'accidents routiers en mission, taux moyen de plombémie, ....) ; on peut établir également un indicateur global qui permette de juger de manière synthétique l'état de la performance SST.
- Permettre l'adhésion et la coopération active d’un groupe de travail multidisciplinaire. Cela nécessite l’organisation de réunions de mobilisation et/ou création d'ateliers de réflexion mettant en avant la situation problématique actuelle. Ces démarches participatives privilégient le brainstorming, le travail en groupe et l'action collective et misent sur l'influence mutuelle entre les personnes.
- Connaître les normes et les meilleures réalisations dans des activités similaires à l’extérieur. Le renforcement constant des normes et réglementations requiert un effort permanent d'analyse qui est rarement entrepris. Le repli sur soi est très fréquent dans les entreprises, générant parfois une culture d'infaillibilité : l’organisation croit avoir des compétences en matière de prévention des risques professionnels excellentes, sans qu’aucun benchmarking ne l’atteste.
- L'évaluation de la culture de sécurité correspond à une première étape dans la démarche vers son développement. Diverses méthodes d'évaluation de la culture de sécurité peuvent être utilisées pour suivre l’ l'impact des interventions menées au sein de l’entreprise, ainsi que dans des études comparatives de « benchmarking » : des méthodes ont été conçues pour étudier la conscience de la situation sécuritaire (SART, SAGAT …) et tendre à comprendre et mesurer les progrès des comportements sécuritaires en vue d’installer durablement une culture efficace de sécurité dans les entreprises. L’évaluation qualitative de la culture de sécurité est généralement fondée sur la réalisation d'entretiens, d'observations, d'audits et d'analyse documentaire pour collecter toutes les informations nécessaires.
- Par exemple, la courbe Bradley permet de visualiser aisément les changements de mentalité et de comportement nécessaires pour développer graduellement une culture de sécurité affermie, avec une baisse tendancielle de la fréquence des accidents du travail selon les stades de développement de la culture de sécurité. La courbe de Bradley a un réel intérêt en entreprise pour mesurer l’état actuel de la culture de sécurité et ensuite agir sur les comportements et développer une culture commune de la sécurité et passer d’un niveau à l’autre.
Niveaux de la culture de sécurité au travail
ANNEXE
Exemple d’une matrice SWOT d’analyse d’un projet d’adoption du télétravail
Forces : facteurs intrinsèques, internes à l’entreprise, qui ont un impact positif, favorisant ce projet
Faiblesses : facteurs intrinsèques, internes à l’entreprise, qui ont un impact négatif, pénalisant ce projet
Opportunités : conditions extérieures, offertes par l’environnement de l’entreprise, facilitant ce projet
Menaces : conditions extérieures, imposées par l’environnement de l’entreprise, handicapant ce projet
Matrice SWOT |
FACTEURS UTILES |
FACTEURS NÉFASTES |
Facteurs Internes |
Forces
Avantages pour l’employeur
|
Faiblesses
Inconvénients pour l’employeur
|
Facteurs Externes |
Opportunités
Politico-économiques
|
Menaces
Techniques
|
Pour aller plus loin :
- OFFICIEL PREVENTION : FORMATION CONSEILS > CONSEILS : LES SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ AU TRAVAIL (SMSST) : https://www.officiel-prevention.com/dossier/formation/conseils/les-systemes-de-management-de-la-sante-et-de-la-securite-au-travail-smsst
- OFFICIEL PREVENTION : FORMATION CONSEILS > FORMATION CONTINUE À LA SÉCURITÉ : LES INDICATEURS DE SANTÉ ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL : https://www.officiel-prevention.com/dossier/formation/formation-continue-a-la-securite/les-indicateurs-de-sante-et-securite-au-travail
- OFFICIEL PREVENTION : FORMATION CONSEILS >FORMATION CONTINUE À LA SÉCURITÉ : LES PROJETS D'ENTREPRISE D'AMÉLIORATION DE LA SÉCURITÉ ET DES CONDITIONS DE TRAVAIL : https://www.officiel-prevention.com/dossier/formation/formation-continue-a-la-securite/les-projets-dentreprise-damelioration-de-la-securite-et-des-conditions-de-travail
- OFFICIEL PREVENTION : FORMATION CONSEILS > FORMATION CONTINUE À LA SÉCURITÉ : LES POLITIQUES DE SÉCURITÉ AU TRAVAIL ET DE PRÉVENTION DES RISQUES PROFESSIONNELS : https://www.officiel-prevention.com/dossier/formation/formation-continue-a-la-securite/les-politiques-de-securite-au-travail-et-de-prevention-des-risques-professionnels
- OFFICIEL PREVENTION : FORMATION CONSEILS > FORMATION CONTINUE À LA SÉCURITÉ > LA CULTURE DE SÉCURITÉ AU TRAVAIL : https://www.officiel-prevention.com/dossier/formation/formation-continue-a-la-securite/la-culture-de-securite-au-travail
- OFFICIEL PREVENTION : ORGANISATION ERGONOMIE > DOCUMENT UNIQUE : LA GESTION DES RISQUES PROFESSIONNELS : https://www.officiel-prevention.com/dossier/protections-collectives-organisation-ergonomie/document-unique/la-gestion-des-risques-professionnels
Mars 2021
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